(photo internet)
Combien d'années se sont-elle écoulées
pour que ma peau frémisse encore
à l'évocation de cette danse ?
Elle ne ressemblait pas à ces demoiselles
si longues et si fines...
trop longues et trop fines.
La douceur et la grâce
s'incarnaient dans son corps souple.
La lumière dansait avec elle
et mon coeur aussi.
Lorsque le cygne majestueux
en une longue agonie,
refermé sur son cou gracile
ses ailes blanches,
Je priais tout bas
pour que ça ne s'arrête jamais.
Souvenir d'une petite ballerine
A Mademoiselle B.
Théâtre de Dunkerque - 1975 (?)
La Mort du cygne
Frédérique
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